POURQUOI J’AI TOUT VENDU (POUR M’EXPATRIER)

Je me suis expatrié à Dubai vers 2012.

Mais je ne partais pas de zéro.

J’avais déjà des business en France. Qui marchaient très bien.

J’avais mon appartement en bord de Seine à la frontière de Paris, et mon SUV.

Tout ce qui est censé contribuer au bonheur matériel que la société marchande nous vend.

Mais je vais être franc: ça ne contribuait pas à mon bonheur.

Quelque chose n’allait pas. Il manquait une pièce au puzzle.

1/3 – J’ai donc décidé de tout vendre… pour m’expatrier hors d’Europe

Business. Immobilier. Et même ma voiture. Tout.

“Mais t’es un ouf!”

“T’as des business déjà rentables!”

“Tu vas le regretter!”

“Tu vas perdre tout ton investissement!”

J’avais pourtant tourné la page. De la même façon que j’avais subitement démissionné de Londres pour échapper au salariat (même très bien payé).

Évidemment, c’est facile de parler après-coup.

Mais je peux te le dire avec 10 ans de recul: oui, j’ai pris la meilleure décision de ma vie et j’en suis très heureux encore aujourd’hui.

Pourquoi ?

Car je n’ai jamais été aussi épanoui que maintenant. Je n’aurai pas pu atteindre cela avec mon ancien modèle de vie, dont la seule mesure était la valeur de mon capital.

Et la crise du Covid n’a fait que confirmer ce besoin de liberté.

J’ai laissé tomber un confort matériel de court terme, pour un bonheur de long terme.

2/3 – Le vrai bonheur passe par la liberté financière, mais c’est aussi la liberté géographique et personnelle.

La liberté géographique, c’est celle de pouvoir apprécier pleinement toute la richesse qu’offre cette Terre.

En termes de nature, de culture, d’histoire, de paysages… ou même (et surtout) de cuisines!

Et la liberté personnelle c’est celle de ne plus être esclave de ses biens.

Celle de pouvoir élever ses enfants comme on le souhaite. Et non par l’Éducation Nationale.

Celle d’être proche des siens. Et de sa spiritualité.

Celle de façonner son environnement immédiat et faire en sorte qu’il ne soit pas toxique.

C’est donc pour cela que j’ai tout quitté.

Ma liberté n’a pas de prix, et c’est la meilleure décision que j’ai prise.

3/3 – J’ai donc quitté Paris pour Dubai

Où j’ai pu lancer des business passifs.

Ce qui me permet de générer des revenus conséquents sans contraintes horaires ou géographiques.

Garder ma liberté, quoi.

Tout en voyageant par-ci par-la avec ma famille au Moyen-Orient et en Asie. Ce qui est extrêmement enrichissant pour l’éveil des enfants.

C’est cela, à mon sens, une vie épanouissante. Le vrai kiff!

Ce n’est pas de rouler dans une grosse voiture avec une Rolex au poignet, sous un temps de pluie, avec la crainte de prendre une amende à chaque coin de rue.

Ce que j’aime avec la liberté financière?

Tu fais de l’argent ton esclave, et non pas ton maître.

Mais cette liberté financière seule ne suffit pas.

Les autres libertés y sont imbriquées et tu dois avoir l’intelligence de les déceler.

Et beaucoup tombent dans le piège tendu par les fausses “libertés”: comme celle de consommer la dernière babiole à la mode, qui s’apparente davantage à une servitude.

Dans ma newsletter gratuite Expat x4, je te démontre que tu peux avoir à la fois le beurre et l’argent du beurre en t’expatriant. Grâce à mon experience d’expatriation à Dubai, puis en Turquie.